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Quelques choses essentielles à savoir pour favoriser la communication

Pour pouvoir favoriser la communication, l’école constitue un endroit important dans la formation du faire apprendre à l’enfant et dans l’interaction entre personnes. Le langage est primordial, il fait partie des éléments fondamentaux dans la Communication orale.  La communication ne se trouve pas uniquement dans la langue parlée, mais elle débute déjà à la naissance avec les cris, les pleurs, les rires… du nouveau-né.

Nous allons voir à travers la communication que l’on apprend aux enfants, que ces méthodes fonctionnent également sur les adultes en entreprises.

1.     Le cycle de la communicationsocial

La communication constitue plusieurs étapes afin d’atteindre les objectifs :

  • Le vivre ensemble, qui consiste à rendre possible les relations internes entre les membres d’une équipe et qui prévient les conflits.
  • Un moyen des apprentissages, il est pour cela primordial que les membres comprennent les consignes et les conseils qui leur sont donnés (expliquer dans des termes adaptés) par leur maître, ainsi L’interaction se fait progressivement. C’est une sorte de mangement interne.
  • Un objet d’apprentissage, il s’agit de pratiquer avec justesse les bons outils de langue dans les bons contextes pour que le message passe au mieux.
  • Les composantes langagières et linguistiques qui font ressortir les composantes socioculturelles c.-à-d. l’utilisation de la langue dans un contexte spécifique.
  • Des composantes pragmatiques, lors desquelles l’enjeu des échanges a de l’importance entre les membres.
  • La communication non différée comporte toujours des composantes non verbales (plus spécialement chez les jeunes enfants) notamment le soutien de la gestuelle et de la Communication corporelle des différents membres.

Ces 6 points vont permettre en management de faire passer au mieux possible le message lors d’une collaboration entre les membres.

Principes de progression

Les compétences de communication attendues en fin d’école maternelle sont :

  1. Répondre aux sollicitations de l’adulte.
  2. Prendre l’initiative d’un échange et le conduire au-delà de la première réponse.
  3. Participer à un échange collectif en écoutant l’autre, attendant son tour de parole tout en Restant dans l’échange.

Ces objectifs précis visent à rendre l’enfant autonome et à les former pour l’école primaire. Répondre aux sollicitations de l’adulte entraîne l’enfant à s’engager à parler. Parler est un partage, cela exige à sortir de son cocon pour s’ouvrir aux autres. Lors de difficultés, l’enseignant se sert de toutes formes pour améliorer la communication (également non verbale) pour faciliter et établir le contact. Le but est que l’enfant puisse transmettre les informations qu’il a assimilé à ses interlocuteurs.

Pour entrer en conversation, il faut pouvoir prendre l’initiative d’un échange. C’est pourquoi l’écoute active est très importante, afin de mettre l’enfant en confiance et pour qu’il arrive à trouver une place dans la société. L’enseignant se doit de rester attentif pour pouvoir capter tout signe d’une intention à vouloir communiquer. Il s’agit ici d’une stratégie importante lors de l’apprentissage à appliquer. L’enseignant doit aussi également solliciter les enfants à oser prendre la parole en public ou au sein d’un groupe. La prise de parole dans le groupe peut se faire sous forme de « monologue » -qui consiste à prendre la parole seule par exemple en récitant une comptine- ou en interaction avec une ou plusieurs personnes. Lors de l’interaction, l’enseignant à un rôle important, car l’enfant qui a peu d’aisance se confira avec plus de faciliter avec son maître/maîtresse. L’enseignant peut également aider les enfants à préparer leur prise de parole individuellement.

Toutes ces stratégies sont également utilisées dans les entreprises, parmi les collaborateurs, lors d’une organisation d’un projet face à des interlocuteurs. Cette stratégie est très fortement utilisée par le patron d’une équipe marketing en général où la communication est primordiale. La seule différence est la place du logiciel dans ce monde-là, contrairement dans le monde de l’école. Le logiciel est un outil clé de nos jours pour la communication. Les différents logiciels mis en place pour favoriser la communication permet à l’entreprise d’être plus productif et de faire passer les informations plus facilement.

L’insertion dans un échange collectif suscite de vouloir prendre la parole pour s’exprimer efficacement autour d’un sujet spécifique. Dans ce cas la parole est demandée une fois accordée, l’échange peut commencer. C’est une formation stratégique qui permet en management interne de mieux avancer dans le projet visé. Toutefois, cela demande une grande rigueur de gestion sur les points suivants :email

  • Des règles claires et limitées
  • Un outil adapté
  • Choisir un sujet précis et clair pour que les enfants puissent interagir avec des questions précises.
  • Le médiateur (l’enseignant) exerce une régulation très active pour pouvoir respecter le sujet, accorder la parole à chacun ainsi que l’écoute d’autrui.
  • Donner une variation dans les thèmes
  • Faire jouer des rôles différents
  • Organiser les conditions de l’échange de sorte que les participants travaillent ensemble et veiller au bon déroulement de la discussion.

La participation ou la formation à un échange collectif de façon pertinente et efficace vise à rendre l’élève plus performant l’échange au niveau de la langue. L’enseignant ou dans le cas d’une entreprise, le manager, introduit donc progressivement de nouvelles exigences de façon que la mission soit accomplie ou il se focalisera spécifiquement sur les aspects suivants :

  • Le choix des thèmes
  • Obligation de rester dans le sujet énoncé
  • Respecter les règles (pas de répétition, pas de réaction cohérente.)
  • L’audibilité
  • Participativité

2.    Le langage verbal et non verbal :

  • Verbale : c’est le fait d’utiliser la parole pour pouvoir communiquer avec les autres. Elle désigne également l’ensemble des moyens pour le transfert d’information, de Messages. Les modes verbaux améliorent exprimés par la voix, le choix des mots des verbes et de l’intonation sont des éléments qui permettent d’analyser la situation de communication.
  • Non verbale : c’est le fait d’utiliser tous les éléments qui n’ont pas de liens directs avec la parole. Ces éléments employés sont très importants. Ce sont tous les traits du langage corporel (langues des signes) qui agissent comme vecteur inattentif de nos émotions. Ça peut être notre posture, le Contact visuel, nos petites tiques, les mouvements que nous exécutons.

La communication verbale est acquise dès la naissance avec les pleurs, les cris, elle est donc innée tandis que la communication non verbale est involontaire, elle apparaît au fur et à mesure du temps.

On oublie souvent le facteur non verbal pour lorsque nous rentrons dans le monde du travail car il est plus professionnel d’utiliser des termes plutôt que la gestuelle. Cependant, en marketing le non verbal est très fort utilisé notamment grâce aux publicités, un des meilleurs moyens de communication dans une entreprise. Les valeurs y sont présentes, les stratégies utilisées également sans oublier le plan de base et tout ça sans parler.

 

3.    Repères pour l’observation et l’évaluation

Le patron de l’équipe se trouve constamment en position d’observateur face à ses collaborateurs et se clients. Ce statut est fondamental pour pouvoir évaluer la progression et les compétences communicationnelles de ces derniers. Il évalue ces personnes en rapport à certains critères sur le plan marketing. Si l’interlocuteur ose parler, s’il parle de plus en plus, s’il sait répondre aux sollicitations de son manager, s’il régule sa prise de parole, s’il accepte et respecte les règles des échanges et finalement si cet employé utilise les formules de politesse. L’interlocuteur doit trouver des repères équipés d’outils de communication qui lui permettront de localiser les informations nécessaires avant de s’exprimer à ses clients ou encore à son boss. En général, les repères où il trouvera efficacement toutes ces informations sont les logiciels de communication.

4.       Un cadre sécurisant

Le cadre se doit d’être sécurisant, c’est pourquoi en général on fait appel aux logiciels car les employés de l’équipe doivent apprendre à être attentifs à ce que disent les différents collègues de travail mais aussi à retenir toutes ces informations. Lorsqu’ils parlent à un groupe ou à l’ensemble du groupe, il faut que le logiciel de communication permette aussi de sécuriser cet appel pour que cela reste dans un cadre discret et confidentiel. Il faut qu’il trouve très vite des repères et des réponses en actes et en mots qui lui permettent de comprend

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re ce qu’il peut et ce qu’il ne peut pas faire, ce qui est attendu de lui. Au jour le jour, l’accueil individualisé de chaque travailleur de l’entreprise, crée chez lui le sentiment d’être reconnu comme personne unique. Il peut alors, persuadé que les autres adultes savent qu’il est là, se sentir en sécurité, à tous les niveaux affectivement et physiquement, dans ce lieu où, « séparé », il n’est pas tout seul.

5.       Un milieu de communication

Pour bien fonctionner, sans conflits ni exclusion, le groupe est organisé comme un réseau d’échanges ; il l’est réellement si les différentes personnes se voient, s’ent

endent et s’ils ont des idées, des avis, des intérêts à partager. Cela requiert des dispositifs matériels adaptés, une vie d’équipe riche et un climat fait de respect et d’entente plutôt bienveillante.

 

6.    Un enseignant « tuteur » de langue

L’enseignant qui rend « visible » les taches de production ou de compréhension attendues en les annonçant au début de l’échange, rappelle, si nécessaire, les règles et les valeurs en cours d’activité et fait un bilan à la fin. L’enseignant prend aussi en compte la dimension émotionnelle et affective de la communication, en vivant avec ses élèves des situations de complicité et de partage culturel.

Dans le management, il est important d’avoir un « enseignant » également. Cette personne est chargée d’aider les autres qui ne sont pas équipés des outils nécessaires pour pouvoir communiquer. Le but étant de faire passer les différents messages dans l’équipe pour qu’il y ait une bonne collaboration avec les clients.

7.    Autres « tuteurs » de langue

Le projet d’école précise le rôle de tous ces adultes qui sont auprès des enfants. Chaque professionnel à sa manière d’entrer en relation et apprendre ses valeurs, s’adaptant à chaque enfant, mais en restant toujours à l’écoute du groupe.communication

C’est là où en entreprise ou dans une société, on parle de gestion des employés. Savoir comment gérer son personnel fait partie de l’apprentissage de la communication du manager. Il est donc important de bien différencier les différentes stratégies. Le contenu de son travail doit être complet s’il veut que personne ne soit mal guidé. Il se peut cependant que même après un travail complet du « tuteur » quelques points échappe pour certains, il faut alors commencer à penser à une formation de communication qui aiderait ces gens à mieux comprendre l’information partagée.

8.    Les parents, partenaires essentiels

Nous insistons sur l’importance des premiers échanges entre le bébé et son entourage, avec les parents comme premier chef. Un conseil que tout le monde donne aux parents.  Car ils sont premiers tuteurs de cette communication et sont le repère de l’enfant et c’est le rôle des enseignants d’évoquer ce sujet avec eux, dès les premières réunions organisées à leur intention et indépendamment de tout problème particulier. Communiquer lors des situations usuelles est très important ainsi que l’importance d’écouter un enfant qui parle et de lui répondre. Pour les parents dont le français n’est pas la langue première, il convient de les rassurer et de les encourager à utiliser « leur » langue.

Cette façon d’insister sur l’importance du premier échange est très important aussi entre le premier échange du patron avec son équipe. Tout repose sur cette première impression contrairement au bébé face à ses parents. Le mettre au centre d’une conversation face à ses interlocuteurs est une façon de tester ses valeurs. Il doit faire passer les bonnes informations.

TIRER PROFIT DES SITUATIONS SCOLAIRES AUTHENTIQUES

9.    Des situations naturelles

Le contexte scolaire offre naturellement de nombreuses situations de communication favorisant la progression des élèves et que l’on peut exploiter de manière différente en fonction de leur richesse spécifique. Elles sollicitent la réception, la production l’interaction, selon des modalités différentes.

Dans les entreprises, il existe également des situations naturelles, ces situations permettent aussi de progresser dans l’interaction avec les autres et créer des stratégies marketing.

10.  Des situations particulières

Les objets culturels qui sont ainsi apportés aux enfants sont de nature à créer des liens avec d’autres interlocuteurs, ce qui conduit à élargir la communauté de communication. Les enfants doivent progressivement apprendre à écouter, intervenir ainsi qu’à mémoriser et jouer les textes.

11.   Les consignes

Les consignes qui visent à faire et à faire obéir.

La difficulté chez les jeunes enfants est qu’ils se sentent qu’exceptionnellement concernés. Il importe donc de veiller à la manière de donner la consigne tout autant qu’à son contenu c.-à-d. pas plus d’une consigne à la fois. Progressivement on pourra évoquer des objets, des lieux, des moments hors du temps et de l’espace où on parle. En fin de section de grands, on pourra utiliser des phrases plus complexes.relation

Faire l’appel : l’acte de « faire l’appel » peut être pratiqué de différentes manières dans les différentes sections et au cours de l’année. Ceci indiquera le commencement du travail.

Accueillir les enfants après la sieste : ceci concerne la section des petits et des tout-petits. L’enseignant accorde alors vraiment toute son attention aux enfants des moyennes ou grandes sections qui sont dans la classe pendant la sieste des petits. Dès l’arrivée du premier levé, un travail d’autonomie doit être prévu pour les plus grands pour apprendre à mieux se connaître notamment.

Résoudre un conflit pour donner suite à un incident de cour : les compétences relèvent du domaine d’activités du « vivre ensemble » et de la maîtrise du langage. L’utilisation d’une situation problème ou d’un événement perturbateur à l’école nécessite la prise en compte de la parole de l’autre, l’entraide, le respect et l’écoute.

Dire ensemble des chansons à gestes : à la fin de l’école maternelle, cette connaissance doit être acquise pour éveiller la curiosité et qui aide à la mémorisation et permet que chacun puisse participer selon ses propres capacités.

Toutes ces compétences à apprendre aux enfants fonctionnent également sur les adultes, la preuve est la communication au sein d’une entreprise où celui qui se charge de l’équipe est le tuteur et les élèves sont les autres membres de l’équipe. Il doit faire en sorte que tous ces outils fonctionnement efficacement et que toutes les valeurs soient respectées entre les collaborateurs. Les conseils qu’il donne en général, sont des conseils pour que l’organisation interne du projet soit faite avec perfection.

 

 

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