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L’agriculture de demain et ces enjeux à venir

agriculture-durableNous vivons une époque avec des enjeux majeure : le changement climatique, l’épuisement des énergies fossiles et non renouvelable de façon artificielle, une explosion démographique sans précèdent couplé à un vieillissement, a l’inégalité sociétale ainsi qu’une perte important de la biodiversité….

Tous ces enjeux d’avenir sont interdépendants, nécessitent une alliance forte de la part des différents acteurs du plus petit au plus grand, et doit s’inscrire dans un projet à long terme avec des réponses concrets en évitant les réponses simpliste sans réelle avancé dans la résolution du problème. A ajouter que la science n’est pas encore prêt a prévoir l’évolution de certain crises, sans parler des problèmes qui existe déjà et dont nous n’avons pas encore de solution en bref il nous reste encore un long chemin à parcourir pour résoudre les enjeux de demain et l’agriculture a son rôle à jouer.

Le changement climatique

Les dernières décennies se caractérisent par un réchauffement général et rapide du climat et par une intensification des phénomènes météorologiques extrêmes (cyclones, sécheresses, canicules…). La cause primordiale est la hausse des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine (CO2 notamment).

Par nature très dépendante du climat, l’agriculture doit s’acclimater et élaborer des desseins pour défier ces nouvelles obligations. Notamment en recourant à différents pratiques de culture (ajustement du planning de semis ou de fertilisation, irrigation…) ou en adoptant de nouvelles variétés plus adaptées (plus tardives, plus résistantes à la chaleur…). Mais en 2016, l’agriculture participe également pour 20% approximativement aux émissions de gaz à effet de serre : emploi des machines agricoles, production des engrais, élevage bovin… Elle est beaucoup plus appliqué pour baisser son empreinte carbone, par exemple à l’occasion du l’agriculture raisonnée qui tend à se populariser. à quelques occasions, l’accentuation peut permettre d’améliorer la conclusion carbone pour une même quantité d’aliment fabriquée.

Les productions végétales constituent par ailleurs un très bon moyen d’accaparer une fraction du CO2 atmosphérique car les arbustes absorbent ce gaz pour s’étendre. Les forêts, notamment, se montrent de bons pièges à carbone.

L’explosion démographique

De 6,7 milliards d’êtres humains il y a 12 ans, l’humanité est passée à 7,5 milliards en 2016 et pourrait passer à 10 milliards en 2050. Soit une hausse d’environ 50 %, essentiellement localisée dans les zones les moins développées. L’agriculture devra subvenir aux besoins cette population en augmentation constante et importante. La production globale du moment (environ 2 800 kilocalories / jour / habitant) est en l’état actuel des choses considérée comme suffisante pour subvenir aux besoins la population internationale.
À l’avenir, il sera nécessaire de soit maximiser et optimiser la production agricole, soit réduire nos méthodes de consommation alimentaires, surtout en protéines animales. Le remède miracle est certainement une combinaison des deux. La méthode agricole qui permettra de parvenir à ces objectifs en ayant un effet neutre sur l’environnement reste toujours à imaginer. Pour subvenir aux besoins la planète, il sera nécessaire de combiner l’agriculture traditionnelle avec les nouvelles techniques de production agricole.

Le vieillissement, l’alimentation et la santé

La population ne cesse de croître, mais pas uniformément : entre 2005 et 2050, elle sera due à 50% par la hausse du nombre de seniors âgées de 60 ans et plus, tandis que le nombre des moins de 15 ans diminueront de sensiblement. Le vieillissement sera spécialement fort dans les pays du premier monde, par ailleurs confrontés à des soucis croissants de santé de la population liés spécialement à l’alimentation. Le surpoids et l’obésité en sont des signes avant-coureurs.

D’après l’Organisation internationale de l’Alimentation et de l’Agriculture (FAO), cette erreur « doit être affronté sur le même plan que la sous-alimentation, et même en particulier dans les nations en phase de développement qui totalisent de surcroît une population supplémentaire d’obèses ». L’agriculture a partiellement la clé de cet enjeu : en offrant à tout le monde une alimentation équilibrée riche en vitamine de fruits et légumes en associant une alimentation équilibrée et ainsi garantir une santé stable grâce a ne bonne alimentation à tous. À condition qu’elle puisse profiter d’un commerce équitable (fair trade).

La perte de la biodiversité

La biodiversité, fias partie intégrante de la vie sur terre, l’ensemble des milieux naturels et des formes de vie. Ce sont les différentes formes de vie et le milieu naturels qui nous apporte la nourriture, elles nous sont d’aide en tant que ressources alors il est nécessaire de protéger cette biodiversité fragile et unique. Mais nous sommes en train de détruire ces ressources de façon progressive et dangereuse, la cause de tout c’est l’Homme qui aménage les territoires sans se soucier des conséquences et de la surconsommation de nourriture ainsi que des objets à utilisation unique. Sans oublier l’utilisation abusive des matériaux/métaux rare.

L’agriculture se sert du milieu naturel pour des productions astronomiques qui ne cessent de grandir étant donné la masse de population mondiale fléchie, et est donc souvent critiquée pour sa pression sur la nature lorsqu’elle pulvérise les champs d’OGM pour combattre les mauvaises herbes, les virus destructeurs et les insectes ravageurs.

Ces dernières années les mentalistes évoluent et les agriculteurs se préoccupent de plus en plus à la nature lors d’utilisation de pesticide. Par exemple la gestion des forêts change et on privilégie la diversité biologique et les cycles naturels de la vie. Une nouvelle forme d’écologie consciente se développe qui combine le respect des ressources naturelles et la productivité en diminuant la pression sur l’environnement appelé agro-écologie.

 

Comment sauvegarder notre climat tout en gardant un mode de vie moderne ? Comment protéger les espèces en voie de disparition ?
Comment agirons-nous réellement face à l’épuisement des énergies fossiles (rare) et l’explosion démographique ?

Pourrait-on un jour trouver l’équilibre entre nous et la planète ?

Ces grandes questions de notre siècle méritent qu’on se penche sérieusement sur ce sujet afin de préserver notre planète et sa biodiversité il va falloir prendre des décisions rapidement vu l’ampleur des enjeux et les mettre en pratiques. Nous sommes sur une planète unique en son genre qui propose les meilleures conditions de vie pour l’espèce humaine, tachons de prendre soin, car notre planète secours n’existe pas, en tout cas pas à l’heure actuelle.

Auteur : vittoria.conte

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